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En ce qui concerne la cécité au bleu des Grecs, il s’agit plus d’une sensibilité des Grecs aux couleurs claires, chaudes, et d’un intérêt plus faible pour les couleurs sombres, bleues, froides. Et l’on doit être au clair sur le fait que le processus qui avait lieu là était en lui-même, pour le peuple Grec, un proccessus ce jouant bien plus en l’âme, par rapport à ce qui se produit aujourd’hui dans la cécité partielle au bleu. Ce n’est pas une caractéristique individuelle du peuple grec, mais quelque chose qui survient généralement durant une période déterminée de l’évolution d’un peuple. Par exemple, le peuple chinois avait dépassé depuis longtemps l’époque de la cécité au bleu, lorsqu’il est entré dans l’histoire.
I – Défense d’une science des couleurs compatible avec l’esprit : la connaissance des couleurs dans l’œuvre de Rudolf Steiner (H. Wiesberger). Propos sur la théorie des couleurs de Goethe, du processus de perception des couleurs, l’arc-en-ciel, les incarnats, couleurs de l’aura de l’être humain et du monde suprasensible, couleurs complémentaires et méditation des couleurs. II – Connaissance des couleurs et création artistique : bases d’une connaissance pour la création artistique, peindre selon les couleurs, couleurs de l’eurythmie et de la scène. III – Application de la connaissance des couleurs à la pratique.
Docteur ZUR LINDEN
Revue Triades, X, 3, 1962
Les peuples civilisés sont de plus en plus victimes d’un état maladif qu’on peut appeler « nervosité ». Le médecin consciencieux n’aimait pas jusqu’à présent ce mot, car ce diagnostic lui semblait trop imprécis.
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