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Présentation du livre
Si l’anthroposophie est un chemin pour que l’homme retrouve le lien avec la Sophia, alors la requête de Steiner qui nous invite à dépasser nos perceptions sensibles trouve dans les contes populaires l’occasion d’un exercice excellent, disons même sublime (sub-liminal), et magnifiquement mickaëlique puisque ce chemin demande concentration, écoute, persévérance, reprise à rebours, et parfois dans la désespérance, prière aux dieux dans l’aveu de notre insignifiance. Alors, c’était écrit, un dieu répond et votre visage désespéré s’inonde soudain d’une lumière : « Eurêka ! » Vous étiez sans force, vous voici énergie, soleil joyeux pour achever la tâche.
Une fois par mois se réunit une équipe au « Verger qui Chante ». Il y a des moments de grâce, vraiment. Christophe, le bien nommé, qui n’est venu que 5 ou 6 fois, s’est écrié un soir au cours de l’étude des « Souliers usés au bal » : « Mais, les souliers, n’est-ce pas ce qui est sous-lié ?» Parfois c’est vraiment long à venir, telle « la lance qui saigne » dans le conte de Perceval : vingt ans pour que jaillisse enfin le cri de victoire : « J’ai compris ! »
Action mickaélique, disions-nous, puisque cette recherche utilise le don de Lucifer, mais pour berner ce dernier : il prétendait nous couper de la sagesse divine unificatrice, et voici qu’au contraire, empli de vénération à l’égard de l’Invisible en qui s’agitent les puissances archétypales angéliques, et sans illusions sur notre pouvoir solitaire, nous pouvons grâce à ce travail retrouver l’Esprit de Dieu, son Souffle, et l’émerveillement devant l’inventivité du conte étudié ; par nous, « Dieu vit que cela était bon . »
+ Le lot de 8 cartes des illustrations du livre
Catalogue au format PDF : CATALOGUE HIVER 2024-2025
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