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De nombreux jeunes étudiants et lycéens appartenant pour la plupart au mouvement des Wandervögel, qui se sentaient attirés par la nature et s’intéressaient à l’anthroposophie souvent de façon très libre, rejoignirent Rudolf Steiner lors de son Cours aux agriculteurs à la Pentecôte 1924 à Koberwitz. Il leur parla avec flamme de la tragédie du matérialisme, du « vécu de la jeunesse », de l’archange Michaël, et du feu de l’enthousiasme.
« Ce qui importe, c’est que nous ne nous endormions pas en restant collés aux habitudes. Nous devons nous habituer à différencier clairement le sommeil et la veille ; nous devons pouvoir dormir correctement, mais aussi être correctement éveillés. Or nous dormons continuellement là où nous devons veiller ! Beaucoup ne sont pas encore disposés à se dire : nous devons encore et toujours nous éveiller, sinon tous les mouvements réformateurs et révolutionnaires ne nous servent à rien. L’important n’est pas de se faire telle ou telle idée sur ce qui doit arriver, mais c’est que les hommes ressentent : le spirituel, dehors, parle à travers une nature en flammes ! »
Docteur ZUR LINDEN
Revue Triades, X, 3, 1962
Les peuples civilisés sont de plus en plus victimes d’un état maladif qu’on peut appeler « nervosité ». Le médecin consciencieux n’aimait pas jusqu’à présent ce mot, car ce diagnostic lui semblait trop imprécis.
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