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L’homme connaît et en quelque sorte domine le monde par la pensée. La contradiction en est : il ne connaît, ni domine la pensée. Elle reste un mystère pour elle même. La philosophie et la psychologie s’en sont nourries mais, depuis qu’elles existent, ne montrent pas avoir saisi le sens de son mouvement, en tant que contenu ultime donnant issue au processus logique dont elles se servent pour leurs structures dialectiques. Elles retiennent que la pensée soit dialectique, coïncide avec la dialectique, naisse et finisse comme dialectique. Aux fins du savoir, l’objectivité extérieure surgit comme un système de valeurs dans la conscience humaine, laquelle ignore qu’elle en constitue le fondement et détermine l’objectivité comme un concept, sans avoir la conscience dialectique du concept lui même Logiquement, l’homme sait ce qu’est un concept mais il ignore sa force, comment il naît et quel est son pouvoir d’accomplissement dans la réalité. Ce qui est davantage que son apparence dialectique et logique : le pouvoir de la Vie.
– Identité inconnue– Concentration– Forces latentes de la pensée– Essence pré-dialectique– Je et ego– Lumière de vie : le concept– – Vie de la lumière– Modalités pratiques– Or philosophal– Apex de la concentration– Sexe et ascèse– Centre de force– Techniques de volonté– Éros et imagination– Ataraxie magique– Transformation de la respiration– Perception pure– Aliment de vie– Initiation– Détermination absolue
Docteur ZUR LINDEN
Revue Triades, X, 3, 1962
Les peuples civilisés sont de plus en plus victimes d’un état maladif qu’on peut appeler « nervosité ». Le médecin consciencieux n’aimait pas jusqu’à présent ce mot, car ce diagnostic lui semblait trop imprécis.
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