Hiérarchie spirituelles et êtres élémentaires
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Correspondances entre le microcosme et le macrocosme

L'homme, hiéroglyphe de l'univers

22,00

 

2.14.0.0

Note de l’éditeur

Dans ces 16 conférences faites à Dornach entre le 9 avril et le 16 mai 1920.

Steiner fait ressortir à quel point l’homme, ce microcosme, est le reflet de l’univers : « La constitution de l’univers ne peut absolument pas être considérée sans que l’on se réfère constamment à l’homme, sans que l’on s’efforce en quelque sorte toujours de chercher à l’extérieur dans l’univers ce qui se trouve aussi d’une manière quelconque en l’homme […] la vie humaine est en quelque sorte modelée d’après les lois de l’univers jusque dans le plus petit détail, jusque dans la respiration et jusque dans sa limitation terrestre entre la naissance et la mort« . dit Steiner au début de la quatrième conférence. Or notre connaissance de l’homme et de l’univers est devenue abstraite, mécanique et mathématique. Elle ne rend pas compte du monde vivant. Pour accéder à une véritable connaissance de l’homme et de l’univers, il faut mettre en œuvre d’autres facultés et inclure l’existence d’autres lois que celles de la pure matière.

Cet ouvrage, qui expose des données rigoureuses, mais novatrices dans le domaine de la science. ne fait pas appel à l’intellect froid et desséché, mais recherche « une connaissance qualitative de choses astronomiques et aussi de choses terrestres élémentaires« . Il attire l’attention sur l’impact du Mystère du Golgotha sur l’évolution de la Terre et de l’univers, témoignant que science et religion ne sont pas incompatibles. Répondant à la question posée au début comment la nécessité naturelle et la liberté sont-elles conciliables ?, Steiner insiste sur le lien entre la liberté et le penser libéré du sensible, entré dans le monde par l’acte accompli par le Christ, et conclut : « C’est donc dans une appréhension juste du christianisme que se trouve le pont entre la vision du monde naturelle et la vision du monde morale. »

Sommaire

– Nécessité et liberté : leur caractère inconciliable dans la vie de l’esprit.

– La question se pose : pourquoi les directions différenciées sont ressenties comme trois directions équivalentes ? L’animal ne peut pas le faire.

– Il importe de sortir de la pure activité d’abstraction, pas de tracer une nouvelle image du monde sur le mode de celle de Copernic.

– Question principale : quel est en l’homme le rapport entre la morale et la loi de la nature ? La différence des trois partie de l’organisme.

– La conception scientifique actuelle considère l’univers sans rapport à l’être humain et seulement comme un assemblage, comme si l’homme était constitué de ses parties.

– Il faut rechercher l’accord entre l’homme et l’univers extérieur à l’homme.

– La science de la nature ne se considère pas en tant que telle.

– L’homme d’autre fois se savait dans le sein de tout l’univers, appartenant à la Terre dans le métabolisme, aux éléments et aux planètes dans le psychisme, au ciel étoilé dans l’esprit.

– La veille et le sommeil

– L’homme du métabolisme est adapté à la Terre, la tête ne l’est pas.

– L’organisation de la tête est un écho du séjour dans le monde spirituel.

– Les confessions chrétiennes ne veulent pas que la science de la nature soit spiritualisée

– L’univers ne peut pas être compris sans l’homme

– L’interaction du courant païen et du courant chrétien, dans l’univers aussi.

– À l’objection que comprendre la signification du christianisme exigerait une compréhension complexe de l’homme et du monde, il faut répondre qu’à ses débuts, le christianisme requis des représentations non moins complexes par exemple, celle de la Trinité.

– La vision du monde orientale est orientée sur l’espace, celle de l ‘Occident, sur le temps.

2.14.0.0
Format Broché - 308 pages
Date de parution 01/03/2009
GA 201 - 16 conférences, à Dornach entre le 9 avril et le 16 mai 1920
Traducteur Geneviève Bideau
ISBN 9782910112639