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Notre vécu du temps de l’année est naturellement lié au cycle des saisons dont nous percevons les effets dons les métamorphoses de la nature. Mais nous n’avons pas vraiment conscience de ce qui est à l’ouvre dans ce temps qui court d’une saison à l’autre. Il faut se foire la représentation de ce qui se passe pour la terre, entre les deux extrêmes des solstices, pour percevoir qu’il s’agit ou fond d’une grande respiration : un expir jusqu’à la St Jean, suivi d’un inspir jusqu’à Noël. De quelle mort’sommes-nous insérés dons ce grand rythme, invités pendant six mois à l’expansion de notre moi jusqu’aux lointains du cosmos, puis, dès que les jours commencent à raccourcir, à nous concentrer de nouveau jusqu’à la nuit la plus profondes ?
Sergueï prokofieff a rassemblé, en le prolongeant par ses propres recherches, les nombreuses contributions de Rudolf Steiner, concernant ce vécu du temps de l’année partagé avec les êtres spirituels qui accompagnent le développement de l’homme, dans son livre : « Le cycle de l’année, un chemin d’initiation vers le vécu de l’être du Christ ».
(Daniel Léon)
Docteur ZUR LINDEN
Revue Triades, X, 3, 1962
Les peuples civilisés sont de plus en plus victimes d’un état maladif qu’on peut appeler « nervosité ». Le médecin consciencieux n’aimait pas jusqu’à présent ce mot, car ce diagnostic lui semblait trop imprécis.
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